La reconnaissance universelle des valeurs écologiques où l’Homme retrouvera ses racines naturelles est en passe d’influencer tous les domaines de l’architecture. Lester Brown, président du Worldwatch Institute décrit ce moment historique comme rien de moins qu’une révolution comparable dans sa portée à la révolution agricole et à la révolution industrielle. Le projet de la Résidence Simonetta s’inscrit dans ce courant de pensée et aborde les préoccupations écologiques principalement par le biais d’une réflexion philosophique plutôt que par des innovations technologiques.

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Accrochée à flanc de montagne où domine la nature, la dualité d’expression de la résidence fait qu’elle s’y intègre et s’en détache à la fois. Ce langage des formes, veut provoquer une réflexion sur le rapport que l’homme devrait avoir avec la nature.

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La résidence est perçue à la fois comme un objet planté dans un site pour s’en démarquer (et profiter d’une vue exceptionnelle en direction de la vallée) et par opposition perçu comme l’archétype de l’abri de montagne en relation intime avec son environnement. Le passage formel de l’un à l’autre se fait par des éléments de transition.