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Condoplex Chambéry

Quartier Chambéry, Blainville, Québec

Collaboration: BONE structure

2012

Depuis 2006, la municipalité de Blainville multiplie les efforts pour favoriser la création d’un quartier hors du commun, dans l’un des derniers secteurs qu’il lui reste à urbaniser; le quartier Chambéry. Ce quartier s’étendra sur une surface de plus de 250 hectares avec comme objectif premier, la protection et la valorisation des milieux naturels. Une version contemporaine de la Cité-jardin de Ebenezer Howard. Les condoplex Chambéry s’inscrivent dans cette démarche d’avant-garde. Tracer une nouvelle voie issue de la fusion entre l’architecture et l’environnement en créant un bâtiment / forêt.

 

La première phase prévoit la construction de 23 immeubles érigés le long d’une large voie plantée, le boulevard Chambery, l’artère principale qui sillonne le quartier de part en part. Chaque immeuble comprend 18 unités imbriquées autour d’une cour intérieure, « la clairière ». Des percées entre les unités d’habitation atténuent l’effet de masse, assurent une transition et l’intimité entre les unités et permet de laisser rentrer la forêt, la lumière et la ventilation naturelle.

Condoplex Chambery

Depuis 2006, la municipalité de Blainville multiplie les efforts pour favoriser la création d’un quartier hors du commun, dans l’un des derniers secteurs qu’il lui reste à urbaniser; le quartier Chambéry. Ce quartier s’étendra sur une surface de plus de 250 hectares avec comme objectif premier, la protection et la valorisation des milieux naturels. Une version contemporaine de la Cité-jardin de Ebenezer Howard. Les condoplex Chambéry s’inscrivent dans cette démarche d’avant-garde. Tracer une nouvelle voie issue de la fusion entre l’architecture et l’environnement en créant un bâtiment / forêt.

 

La première phase prévoit la construction de 23 immeubles érigés le long d’une large voie plantée, le boulevard Chambery, l’artère principale qui sillonne le quartier de part en part. Chaque immeuble comprend 18 unités imbriquées autour d’une cour intérieure, « la clairière ». Des percées entre les unités d’habitation atténuent l’effet de masse, assurent une transition et l’intimité entre les unités et permet de laisser rentrer la forêt, la lumière et la ventilation naturelle.

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